SPY 2016
Ce quatrième numéro de la revue Spy est placé sous le signe de Nietzsche dont Michel Foucault disait, en 1975, la présence de plus en plus importante. On montre que de Hölderlin à Nietzsche, l’ombre portée du premier aura atteint le second, et aussi que le On Being Ill de Virginia Woolf peut se lire avec Ecce Homo de Nietzsche, — ce texte est l’occasion d’un premier accueil de la langue anglaise dans cette revue, celui-ci est appelé à se renouveler avec Spy 2017.
La cartographie d’un mouvement de passe à L’École lacanienne de psychanalyse est dessinée, la notion d’ « après-passe » y est avancée. Il n’est pas inconséquent que ce texte soit écrit en langue espagnole, — c’est aussi une première dans cette langue, pour cette revue, également appelée à se renouveler l’an prochain.
Le tournant foucaldien de l’analyse se trouve ici retracé, supplémenté d’un fragment portant sur le Foucault des Aphrodisia.
Le non-recours aux catégories psychiatriques est ce à quoi l’analyse inscrite dans le champ des spiritualités engage. C’est l’orientation de la revue.
Deux témoignages sur Jacques Lacan y sont publiés, l’un direct, l’autre indirect, par hommage interposé.
Index de Spy 2016
Présence de Nietzsche
L’ombre de Hölderlin
On Being Ill : lire Virginia Woolf avec Friedrich Nietzsche
Aubes d’Ariane
Le tournant foucaldien de l’analyse
De l’indispensable non-recours aux catégories psychiatriques
Interfaces : spiritualité, psychanalyse, sexualité
« La scène sexuelle est à un seul personnage. »
La flecha que Lacan arroja a la filosofia
Le monolithe facétieux
Vivre à tombeau ouvert